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Critique du film Ma Sorcière Bien Aimée

Sale temps sur les cinés en ce moment, c’est moi qui vous le tukif dis. Y’a des soirs comme ça, où l’on va insouciement consulter la filmo d’un réalisateur sur allocine, pensant si proche l’heure d’un repos bien mérité qu’on s’imagine naïvement que plus rien ne pourra en troubler la quiétude. Ce soir là l’air était frais, frais comme le regard d’un traître dans un film d’art et d’essais suédois. Je venais de clore ma dernière affaire, un beeg cas difficile : un vieux film français des années trente qui avait mal vieilli. Au dehors les bruits de la ville s’étaient tus. Comme pour une trêve. Comme pour nous rappeler que même dans ce monde de fou, le choix du prochain éliminé de la fabrique à veaux chantants pouvait encore attendre le temps d’une lune. Les chats, les dealers, les égarés revenus convaincre un cam4 monde incrédule qu’ils sont déjà là et que l’invasion a commencé et tous les autres habitants de la nuit emmitouflaient leurs allées et venues et leurs petites affaires ho
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Critique du film Star Wars : La menace fantôme

Tout aureolé de la Palme d’or qu’il a failli avoir à Cannes et même, serait-on tenté d’ajouter, qu’il aurait dû avoir si seulement tellement de films n’avaient pas été meilleurs que ce navet, ce nouveau film du prolifique réalisateur américain George Lucas débarque enfin sur les écrans français. L’histoire aussi simple que poignante, constitue un véritable renouveau du film de genre americain, un mélange détonnant et totalement original, malgré le fait que ce soit un remake des “Sept mercenaires”, de “King kong” et de “La fille du puisatier”. Amidala (Natalie Portman, éblouissante a cause d’un eclairagiste incompétent) passe un casting pour obtenir le rôle principal d’une sitcom après le decès de la comédienne qui tenait ce rôle, décès, on ne l’apprendra qu’à la toute fin du film, causé en realité par Natalie Portman pour prendre sa place, mais je ne vous en dis pas plus pour ne pas gâcher la surprise, meme si le fait qu’elle avait combinée cette mort avec l’assistance du partenair

Critique du film Aviator

Qui se souvient d’Aviator, le super héros en forme d’avion ? Et bien apparemment personne. Il faut dire que le comics avait fait un flop commercial lors de sa sortie en 73. Son cri de guerre « Sur cette planète, la mort vient du ciel, tremblez vilains, sur cette planète le mal ne triomphera jamais sur cette planète tant que je veillerais sur cette planète ! » est une preuve accablante du laisser-aller de ses (deux anonymes qui ont cependant participé à l’écriture du scénario du film critiqué ici). Mais le monde d’Hollywood est plein de surprises, et certains producteurs, voulant surfer sur la vague des succès de Super-Man, Spider-Man, Bat-Man, Bio-Man, Janjakgol-Man et des meilleurs, ont déniché ce comics oublié de tous : Aviator. L’histoire, c’est, on peut le dire, et n’ayons pas peur des mots, le combat titanesque entre Aviator (interprété par Chuck Norris) et les MST : les Méchants Syriens Terroristes (interprétés par les Gipsy Kings, avec de fausses moustaches). Ces derniers men